Quand on lui demande de se prononcer sur le nombre exact d'UGS en magasin, Mathieu Séguin, conseiller en ventes chez Cycle Néron, est catégorique: «On en a une shit ton, si je peux me permettre. On en a vraiment beaucoup.»

Il ajoute: «Le problème, c'est qu'il y a tellement de variantes que ça fait juste augmenter, augmenter, augmenter. On a tellement de nouveaux produits et de nouvelles marques.» "

Une fois que Cycle Néron a embarqué avec Lightspeed, la gestion de l'inventaire s'est transformée. «Maintenant, on est capables de faire des spot checks, c'est beaucoup plus facile. On y va par catégories», explique Mathieu. La mise à jour de l'inventaire commence en amont, avec des normes bien établies. «On a moins d'erreurs d'inventaire. Tu finis par sauver des coûts,» dit-il.

«On est capables d'avoir des méthodologies maintenant. Tout est bien rentré, comme il faut, du premier coup. Ça aussi, ça nous sauve du temps.» Selon Mathieu, l'inventaire avant l'arrivée de Lightspeed, «c'était tellement bordélique qu'on ne voulait même pas le faire. Là, c'est à oublier, faire de l'inventaire.»

L’arrivée de Lightspeed s’est faite peu de temps avant un événement très important pour Cycle Néron: la méga vente annuelle, où seule la boutique de Brossard ouvre ses portes pour vendre les stocks en fin de saison. L’équipe était un peu fébrile. C’était la première grosse journée avec Lightspeed.

Le système allait-il performer?

Ce jour-là, pour la première fois, Cycle Néron n'a «pas eu de files d'attente, parce que notre système était déjà plus efficace», dit Mathieu.