«Comment se démarquer et se développer?» Parmi les plus grandes préoccupations soulevées lors de la première table ronde de Lightspeed à Montréal
Lightspeed Commerce Inc. a récemment organisé l’édition montréalaise de Table Talks, un rassemblement de chefs, de gérants de restaurant, d’entrepreneurs, de leaders de l’industrie, de membres des médias et de cadres de Lightspeed dans des restaurants locaux de renom.
Cette dernière édition de Table Talks s’est tenue à l’Europea de Jérôme Ferrer, où les invités ont été conviés à entamer des conversations ouvertes, à établir des liens et à aider Lightspeed à équiper les entreprises pour qu’elles puissent faire face à leurs plus grands défis actuels et futurs.
«Je suis ravi d’amener Table Talks à Montréal, notre siège social», a déclaré JP Chauvet, chef de la direction de Lightspeed. «Depuis le premier jour, la mission de Lightspeed consiste à aider les communautés. Nous donnons aux entreprises indépendantes les outils dont elles ont besoin pour faire face aux grands concurrents. Et comme cela est plus important que jamais, nous sommes ici pour écouter ce que ces champions de la communauté attendent de nous.»
Voici quelques-uns des principaux apprentissages de la soirée:
- Il est difficile pour les petits détaillants indépendants de se démarquer de la concurrence en ligne. Les chefs et les détaillants haut de gamme ont l’habitude d’offrir un service à la clientèle sur mesure. C’est ce qui les distingue de la concurrence et leur permet de se constituer une clientèle fidèle. Toutefois, ça demande beaucoup de temps—qui, sur le marché actuel, est de plus en plus consacré à développer une présence en ligne.
- Les «no-shows» sont une source d’anxiété considérable dans l’industrie de la restauration. Lightspeed a écrit sur ce problème, qui s’est aggravé après la pandémie. Contrairement à une annulation, les clients qui ne se présentent pas n’informent pas le restaurant qu’ils n’honoreront pas leur réservation. C’est une surprise désagréable pour le restaurant, qui perd une table et des revenus.
- La culture de la restauration évolue. Les chefs et les gérants de restaurant en pleine ascension adoptent une nouvelle approche, plus collaborative, de la gestion de leur établissement. L’ancienne division entre la cuisine et la salle à manger s’estompe à mesure que la nouvelle génération de chefs cherche à trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie privée dans un secteur où les horaires sont traditionnellement pénibles.
Interrogé sur cette transformation du lieu de travail, Jonathan Metcalfe, gérant du restaurant Tuck Shop dans le quartier Saint-Henri, a indiqué qu’il s’agissait «d’une conséquence de la pandémie, mais je ne pense pas que c’est une tendance. C’est une révolution». Une grande partie de ce phénomène est également liée à la fidélisation du personnel, qui a souvent été un problème dans le secteur de la restauration: «Si vous voulez garder ces personnes, ajoute-t-il, vous devez les récompenser et elles doivent se sentir stimulées. Je pense que l’adoption d’une structure plus coopérative dans les restaurants serait la clé pour s’assurer que Montréal reste une ville qui compte autant d’excellents restaurants.»
Lightspeed propulse les meilleures entreprises au monde, notamment: Michel Brisson (Montréal), Joe Beef (Montréal), Melissa Joy Manning (New York), Boulud (New York), City Bird (Détroit), Alinea (Chicago), Zilte (Antwerp), Le Chalet de la Forêt (Bruxelles), In den Ouden Vogelstruys (Maastricht), Kei (Paris), Da Terra (Londres), Maybe Sammy (Sydney), Neal’s Yard Remedies (Royaume-Uni), Jurlique (mondial) et le Groupe Joël Robuchon (mondial).
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